• Arr. 1, Sect. 3, Koulouba, Av. John F. Kennedy
  • Appelez (+226) 25.30.52.60
  • Anglais | Français
blog

Pour la 8ème fois consécutive, le gouvernement et le secteur privé burkinabé ont tenu leur traditionnelle rencontre à Bobo-Dioulasso le 20 octobre 2008.

Yaoundé, la capitale du Cameroun accueille du 17 au 20 décembre 2021, la 4e session du Conseil international consultatif du cajou (CICC). Ce sont les experts des 11 pays membres qui ont donné le ton ce jeudi 17 décembre 2021 par leur réunion technique. Ils sont notamment appelés à présenter les activités de leurs pays respectifs et à examiner le plan stratégique 2022-2026.
Pour sa part, le Burkina Faso a fait le bilan de sa présidence (2019-2021) qui a été assurée par le ministre Harouna Kaboré. Dans l’ensemble, les experts ont félicité le Burkina Faso pour les actions menées au cours de son mandat, surtout dans le contexte de la persistance de la maladie à coronavirus, avec ses conséquences sur la filière anacarde.
Le Conseil des ministres qui se tiendra le lundi 20 décembre 2021, permettra d’adopter le rapport d’avancement du CICC, d’adopter le plan stratégique de l’organisation et les résolutions pour son meilleur fonctionnement.
En marge de la session, il est prévu une exposition grand-public sur le cajou. Il faut noter que le CICC regroupe à ce jour, 11 pays à savoir, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Mali, le Nigeria, le Sénégal et le Togo. L’organisation a pour but de fournir un cadre de concertation et de promouvoir le développement du secteur du cajou dans l’espace communautaire. En Afrique, le principal défi reste la transformation de l’anacarde qui reste très faible ( 5%) alors sa production représente 2/3 de la production mondiale.
DCPM MDICAPME